L’Arctique se réchauffe environ deux fois plus vite que le reste de la planète. Une nouvelle étude dirigée par une équipe de l’Université º«¹úÂãÎè met en lumière la grande vulnérabilité des espèces arctiques adaptées au froid, telles que le Guillemot de Brünnich, au stress thermique causé par les changements climatiques.
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Publié le: 20 juil 2021