Deux articles publiés simultanément dans Nature Communications par des chercheurs de l’Université º«¹úÂãÎè donnent à penser qu’un médicament utilisé pour traiter le cancer du sein ER positif pourrait être efficace dans le traitement de deux types de cancer, l’un rare et l’autre plus courant.
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Publié le: 4 fév 2019
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Une nouvelle découverte qui jette la lumière sur la génétique des cellules responsables du cancer l’ovaire pourrait expliquer pourquoi certaines femmes survivent plus longtemps que d’autres à cette maladie mortelle. Une équipe multidisciplinaire dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé º«¹úÂãÎè (IR CUSM), en collaboration avec l’Institut Lady Davis de l’Hôpital général juif et le Centre de recherche de l’Université de Montréal, a identifié des mécanismes génétiques dans les tumeurs ovariennes qui permettent de différencier les patientes basé sur leur durée de vie suite à la première intervention chirurgicale. L’étude a été publiée dans la revue PLOS ONE.
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Publié le: 26 sep 2012