Bien que des études menées au début de la pandémie aient donné à penser que la vitamine D réduisait le risque de contracter la COVID-19, des chercheurs de l’Université º«¹úÂãÎè concluent à l’absence de preuve génétique d’un quelconque effet protecteur contre le coronavirus.
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Une nouvelle étude novatrice menée par des chercheurs de l’Institut Lady Davis (ILD) de l’Hôpital général juif (HGJ) a réussi à compiler un atlas sur les facteurs génétiques associés à la densité minérale osseuse (DMO) estimée, l’un des facteurs les plus pertinents sur le plan clinique pour le diagnostic de l’´Ç²õ³Ùé´Ç±è´Ç°ù´Ç²õ±ð. L’article, publié dans la revue Nature Genetics, présente 518 loci pangénomiques, dont 301 viennent d’être découverts, qui expliquent 20 % de la variance génétique associée à l’´Ç²õ³Ùé´Ç±è´Ç°ù´Ç²õ±ð.
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La plus vaste étude jamais entreprise pour étudier la génétique de l’´Ç²õ³Ùé´Ç±è´Ç°ù´Ç²õ±ð et le risque de fracture a démontré que seulement deux des facteurs examinés, la densité minérale osseuse (DMO) et la force musculaire, avaient un lien de cause à effet avec le risque de subir une fracture liée a l’´Ç²õ³Ùé´Ç±è´Ç°ù´Ç²õ±ð, un problème de ²õ²¹²Ô³Ùé majeur qui touche plus de neuf millions de personnes dans le monde, chaque année.
Le plus grand effort de séquençage du génome d’une population, à ce jour, est publié aujourd’hui dans la revue Nature. En se basant sur les données recueillies par le projet UK10K, l’étude a étéconçue pour examiner la contribution de variantes génétiques rares aux maladies et à leur impact sur les facteurs de risque chez l’homme. Les variantes génétiques rares consistent en des modifications de l’ADN qui sont transmises seulement par relativement peu de personnes dans une population.
De faibles taux de vitamine D augmente significativement le risque d’apparition de la sclérose en plaques (SEP), d’après une étude dirigée par le Dr Brent Richards, de l’Institut Lady Davis de l’Hôpital général juif, et publiée dans la revue PLOS Medicine. Ce résultat, fruit d’une analyse de répartition aléatoire mendélienne sophistiquée, confirme une hypothèse de longue date voulant qu’un faible taux de vitamine D soit fortement associé à une augmentation de la susceptibilité à la SEP. Ce lien est indépendant des autres facteurs associés à de faibles taux de vitamine D, comme l’obésité.