Une nouvelle technique de manipulation mécanique des cellules souches mise au point par une équipe de recherche de l’Université pourrait donner lieu à des traitements novateurs par cellules souches dont le potentiel thérapeutique reste à préciser.
Une percée fort prometteuse dans la compréhension des mécanismes du sommeil laisse entrevoir de nouvelles voies thérapeutiques dans les troubles du sommeil et les maladies neuropsychiatriques connexes. En effet, des scientifiques ont constaté que le récepteur MT1 de la mélatonine jouait un rôle crucial dans la régulation du sommeil paradoxal.
Les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) accordent un financement de 1,45 million de dollars à une initiative d’optimisation des services de santé mentale pour les jeunes Autochtones du Canada.
Des scientifiques de l’Université ont mené une étude inédite dans les deux plus grandes villes du Canada. Selon eux, environ 1 100 décès prématurés par année seraient liés à un polluant atmosphérique non réglementé.
Les particules ultrafines proviennent principalement des émissions des véhicules et des activités industrielles. Au Canada, les gouvernements fédéral et provinciaux n’ont pas imposé de concentration maximale pour les particules ultrafines, comme ils l’ont fait pour les particules fines plus grosses (souvent appelées PM2,5).
Une étude dirigée par une équipe de l’Université donne à penser que les forces naturelles de la Terre pourraient réduire notablement les répercussions de l’Antarctique sur l’élévation du niveau de la mer, mais uniquement si l’on réduisait rapidement les émissions de carbone au cours des prochaines décennies. Par contre, si les émissions demeurent sur leur trajectoire actuelle, la fonte des glaces de l’Antarctique pourrait amener les océans à un niveau plus élevé que ce qu’on entrevoyait auparavant.
Par Earl Zukerman, Agent d'information sportive, Athletics and Recreation
Des chercheurs et chercheuses de l’Université ont récemment collaboré à la tenue d’une conférence internationale d’envergure sur les changements climatiques dans l’optique de créer un espace savant pour les voix sous-représentées – soit les communautés les plus touchées par la crise climatique.
Un groupe de scientifiques espère que les résultats de ses recherches sur les causes et l’évolution de la schizophrénie dans le cerveau ouvriront la voie à des traitements ciblés et à l’amélioration du diagnostic de cette grave maladie mentale.
Une étude récente révèle que le nombre de nouveaux cas de sclérodermie systémique augmente au Québec, et particulièrement chez les enfants.
Ce constat doit interpeller les fournisseurs de soins de santé, les décideurs et les chercheurs, croit Elena Netchiporouk, professeure adjointe à la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université et auteure-ressource de l’étude publiée dans la revue The Lancet Regional Health – Americas.
Des scientifiques de l’Université , en collaboration avec une équipe française composée de membres du CNRS, de l’INSERM et de Sorbonne Université, croient avoir cerné le mécanisme sous-jacent à l’anorexie mentale et trouvé un traitement possible.
Une équipe de recherche dirigée par l’Université a mis au point le premier outil capable de détecter des nanoplastiques et de les distinguer des autres particules présentes dans l’eau in situ et en temps réel. C’est un peu comme arriver à trouver une aiguille dans une botte de foin en une fraction de seconde.
En ces temps de réchauffement climatique, de nombreuses espèces ont la bougeotte, ce qui ne va pas sans causer des maux de tête aux décideurs de ce monde. Ainsi, à la faveur des changements dans les aires de répartition des moustiques ainsi que des tiques et des chauves-souris porteuses de maladies, des affections telles la malaria et la maladie de Lyme s’immiscent dans de nouveaux territoires et prennent de court les systèmes de soins de santé.
Dans une « ville du quart d’heure », un concept popularisé en Europe, le citadin peut trouver tout ce dont il a besoin à courte distance à pied ou à vélo. Une étude menée par le groupe de recherche en transport de l’Université (TRAM) indique toutefois que ce modèle pourrait être difficile à implanter à Montréal et dans d’autres grandes villes nord-américaines.
À compter de l’automne 2024, l’Université assumera les droits de scolarité et les frais afférents des étudiantes et des étudiants autochtones membres d’une communauté des Premières Nations située à proximité de l’établissement ou inscrits à un programme offert en vertu d’ententes de partenariat avec l’École de service social, l’École d’éducation permanente et le Bureau de la formation en enseignement pour les Premières Nations et les Inuits. L’initiative rendra l’Université plus accessible et inclusive pour la population étudiante autochtone.
Il est important que les programmes faisant la promotion de comportements de sextage plus sains tiennent compte des besoins particuliers des adolescents et adolescentes aux prises avec un trouble du comportement. C’est ce que révèle une menée par une équipe de recherche de l’Université .