En réponse à la question d'un lecteur, La Presse s'est penchée sur les origines du groupe Metro avec l'expertise de l'économiste agricole Pascal Thériault, Directeur du programme deGestion et technologies d'entreprise agricole de .
Après la réduflation, c'est au tour de la déqualiflation d'être la cible des critiques de consommateurs préoccupés par ces stratagèmes commerciaux qui donnent l'impression d'en avoir moins pour son argent. Le gouvernement Trudeau promet d’enquêter sur la pratique, mais des experts jugent que des mesures immédiates s’imposent.
Dans la plupart des cas, les substitutions d’ingrédients sont pratiquement imperceptibles. Mais les changements de recette de certains aliments laissent des traces.
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Photo: La Terre de Chez Nous
La crème de la crème du monde agricole s'est réunie dans la grande salle de bal du Château Frontenac le 21 octobre pour honorer trois nouveaux intronisés au Temple de la renommée de l'agriculture du Québec.
Des hommages ont été rendus à André D. Beaudoin,Charles Vincentet Réjean Vermette (photo ci-dessus de gauche à droite), sous l'œil vigilant des dignitaires présents, dont le ministre provincial de l'Agriculture, André Lamontagne.
La pomme est pourtant en constante réinvention.L’espèceMalus domesticase décline en quelque 7500 variétés mises au point au fil du temps.
« Aujourd’hui, les gens veulent des pommes croquantes et sucrées. Le Québec importait beaucoup de Granny Smith il y a peu ; très acides, elles sont maintenant beaucoup moins prisées », explique David Wees, chargé d’enseignement en horticulture et en biologie végétale à l’Université .
Même si elle a grandi sur une ferme, Stéphanie Naud, n’avait jamais touché à une hache ou à une scie avant d’étudier au campus Macdonald de l’Université , à Sainte-Anne-de-Bellevue, sur l’île de Montréal.
« J’ai toujours été une sportive de nature, raconte Naud. Je voulais rejoindre une équipe au cégep ou à l’université et les choix n’étaient pas très nombreux. J’ai appris qu’il y avait un club interuniversitaire de bûcheronnage, le seul au Québec. J’étais intriguée et je suis allée faire les essais.»
Les consommateurs ne sont pas les seuls à devoir gérer la hausse du prix des aliments. Les entreprises qui fabriquent la nourriture sont dans le même bateau et elles modifient la recette de leurs produits afin d'économiser de l’argent. Notre santé est-elle en jeu?
« Au Québec, ça n'a pas été bien cette année non plus. On perd la Californie, il reste la Floride, il reste le Mexique. On va espérer que ça aille bien quelque part parce qu'on va payer pour, un jour, » a déclaréPascal Thériault, l’agronome et économiste à l'Université , à Luc Ferrandez, animateur de 98,5fm.
Québec importe énormément de la Californie pour les fruits, les légumes et le vin.
Bien que la croissance des prix en épicerie se poursuive à un rythme plus élevé que l’inflation, elle a ralenti en juillet, selon Statistique Canada, et certains articles affichent actuellement sur les tablettes le même prix que celui indiqué en février, a constaté La Presse.
Or, ce «répit» estival pourrait être de courte durée, prévient Pascal Thériault, agronome et économiste à l’Université . Et il faut tout de même se rappeler que la facture d’épicerie demeure élevée, dit-il.
Alors que le mois de juillet 2023 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre selon le service européen Copernicus, les chaleurs extrêmes et les sécheresses compromettent plusieurs cultures en Saskatchewan.
Le dernier bilan hebdomadaire des récoltes du gouvernement provincial démontre que du 24 au 31 juillet, le taux d'humidité contenue dans les champs agricoles était insuffisant dans 49 % des cas et très insuffisant dans 38 % des cas.
Didier Brassard, stagiaire postdoctoral à l’École de nutrition humaine de sous la supervision de la professeure agrégée Stéphanie Chevalier, a reçu le Prix Relève Étoile du Fonds de recherche du Québec - Santé (FRQS) pour juillet 2023. Cette reconnaissance importante et compétitive d'une publication dans le domaine de la santé n'est décernée qu'une fois par mois à travers la province.
Gels, sécheresses, ravageurs: les changements climatiques menacent notre garde-manger. Des chercheurs de l’Université viennent de créer la plus vaste carte génétique de la pomme de terre, afin qu’elle serve de boussole aux scientifiques qui voudront mettre au point des tubercules plus résilients.
Plus de 130000«pangènes» différents ont été identifiés par les chercheurs, qui ont publié leurs résultats dans la prestigieuse revue PNAS. Cette vaste bibliothèque de gènes pourra servir de point de départ aux reproducteurs qui voudront créer la patate de demain.
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L’Université et l’Université du Québec à Montréal (UQAM) ont annoncé aujourd’hui la création de la Chaire de recherche-innovation en Bien-être animal et intelligence artificielle (WELL-E). Dotée d’un montant de cinq millions de dollars, cette chaire mènera sur cinq ans un grand projet de recherche intitulé « WELL-E », qui vise à favoriser la longévité et le bien-être animal dans les fermes laitières par la télédétection et l’intelligence artificielle.
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Image caption: Ces orques semblent être en bonne santé; pourtant, une étude vient de révéler que certaines d’entre elles présentent des taux de contamination aux BPC extrêmement élevés. Les taux constatés chez les orques les plus contaminées étaient 300 fois supérieurs aux taux relevés chez les orques les moins contaminées. Cet écart est principalement dû aux habitudes alimentaires de ces mammifères. PHOTO : Filipa Samarra - Icelandic Orca Project
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Dans l’Arctique, les changements climatiques et la pollution sont les pires menaces pour les grands prédateurs comme les narvals. L’étude des éڱԲ de narval révèle que l’alimentation et l’exposition à la pollution ont changé au cours des 50 dernières années en raison du déclin de l’étendue de glace de mer. De plus, les émissions produites par l’activité humaine ont grandement intensifié la présence de mercure au cours des dernières années, selon une équipe de recherche internationale.
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La é de l’eau n’est pas un problème nouveau dans les régions rurales de l’Alaska, mais les changements climatiques empirent la situation. Selon des chercheurs de l’Université , les solutions durables passent par le recours à d’autres sources d’alimentation en eau, comme la récupération des eaux pluviales et le recyclage des eaux grises, mais aussi par l’abordabilité de l’eau pour les ménages.