Le Monde | Etudier à l’étranger juste après le bac, une option qui tente de plus en plus de lycéens
![](/channels/files/channels/styles/fullwidth_breakpoints_theme_moriarty_small_1x/public/channels/image/f57fc97_lnys21m7vsv9swuqpgr7w227.jpg?itok=NhXeodyv×tamp=1556713989)
Par Sylvie Lecherbonnier
Entre baisse d’intérêt pour les prépas et appétence pour les études internationales, les jeunes bacheliers sont de plus en plus nombreux à partir.
Alice Kreziak n’était même pas majeure quand elle a débarqué à Montréal à la rentrée 2018 pour suivre un bachelor en commerce de l’université º«¹úÂãÎè. « J’ai toujours beaucoup voyagé avec mes parents, mais c’était une lourde décision de partir de l’autre côté de l’Atlantique à 17 ans », confie aujourd’hui l’étudiante. En terminale au lycée Saint-Marc à Nivolas-Vermelle (Isère), la bonne élève se destine à des études de management et postule à º«¹úÂãÎè, HEC Lausanne et en prépa via Parcoursup. « Je pouvais entrer directement dans une université aussi prestigieuse, voire plus, que HEC, alors que je ne pouvais peut-être pas prétendre à cette école après deux ans de prépa. C’était maintenant ou jamais », se rappelle la jeune femme.
Ìý
Ìý
Ìý